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Lettre ouverte adressée à MM. le Maire de Gatineau et le Ministre responsable de l’Outaouais

abcstrategies2 . décembre 2, 2019 Actualité,Actualités,Actualités,enjeux et pratiques,Médias,Non classé,Nouveautés,Partenaires    deux musées,E.B. Eddy,fierté collective,identité,Musée fluvial national Philemon Wright

UNE VILLE SE DISTINGUE PAR SA PERSONNALITÉ

Droit à la mémoire et vision publique durable sur l’avenir des bâtiments classés E.B. Eddy

Quatrième ville en importance au Québec depuis 2002, Gatineau croyait tenir la fortune en martelant pendant plus d’une décennie l’importance de trouver au site de la E.B. Eddy une vraie vocation culturelle pour augmenter le sentiment d’appartenance et d’identification des Gatinois ; mais cette fortune est sur le point de nous échappée collectivement en raison de notre difficulté à nous réinventer et des impératifs économiques du promoteur. La décontamination de ces friches industrielles pourrait coûter 240 M$ sur un horizon de 10 ans (Le Droit et Radio-Canada, juin 2018) ; Ottawa et Gatineau se partageront la moitié de cette facture par le biais des programmes publics.

Le complexe industriel E.B. Eddy jouit de la plus haute protection patrimoniale du gouvernement du Québec. Son importance tient à sa visibilité évidente, et surtout à sa capacité d’évocation, à sa puissance de rappel du parcours social, esthétique et technique de notre ville. Ce vestige industriel, vide depuis trop longtemps, est aussi l’hôte de la première glissoire à cages du Canada pour contourner les chutes Chaudière — l’un des endroits historiques et patrimoniaux les plus importants en Amérique du Nord — et qui témoigne de grandes réalisations du passé.

Un champ d’action d’une grande actualité du côté de Gatineau

L’exercice d’avoir «un musée régional, ça presse» (Le Droit, 23 août 2019) n’est pas aussi simple sur le terrain. Les musées locaux doivent leur survie à l’appui et à la solidarité de nos communautés.

Alors qu’au niveau politique le projet de la bibliothèque centrale de Gatineau bat de l’aile depuis plus de 10 ans, la ville a-t-elle l’autorité morale de s’engager encore « dans la construction d’une véritable infrastructure muséale régionale capable d’entreposer et gérer des collections d’artefacts » (Le Droit, 24 août 2019) ? Ce musée pourrait jouer avec plus adéquation son rôle dans l’édification du sentiment d’appartenance à Gatineau en étant localisé dans l’édifice existant de la E.B. Eddy, élément phare du pôlecultureldel’axe Montcalm, et ce tout en évitant de grossir la dette publique des Gatinois avec un autre bâtiment municipal neuf. Seulement, cette solution requiert de travailler conjointement deux dossiers : la faisabilité à long terme de ce musée régional découlant d’une commande publique et, les plans à moyen terme du musée fluvial national (https://bit.ly/365ZHLg) qui est réfléchi depuis quatre ans par plus de cinq cents citoyens et mécènes autour de l’organisme culturel A.B.C. Stratégies.

Le Réseau du patrimoine de Gatineau et de l’Outaouais fait face à des choix cornéliens et a observé impuissant les revers successifs de ses membres en 2019 dont le Musée du sport, délocalisé à Montréal, et le Centre d’interprétation de Maniwaki, fermé avec la perte de quatre emplois. Malheureusement, suite à la révision des critères d’attribution du programme d’aide au fonctionnement pour les institutions muséales (PAFIM), le Ministère de la Culture et des Communications a fait sentir ses compressions budgétaires en Outaouais malgré la hausse du budget québécois du programme d’environ 1 M$. Aucun centre d’interprétation ou musée local n’a été agrégé dans la région 07 bien qu’ils jouent, eux aussi, un rôle moral et social essentiel en tant que repères collectifs et dépositaires de la culture pour les générations futures.

Rappelons que le futur Musée fluvial national Philemon-Wright s’étendra sur deux pavillons dans le secteur des chutes Chaudière —  l’île Nord à Gatineau (E.B. Eddy) et l’île Sud à Ottawa (plaines Lebreton) — en plus, de proposer la création d’un Centre de recherches engagées en excellence (CREE) déjà relié à un groupe de huit universités. L’archipel muséal aura la mission de mettre en lumière l’époque spectaculaire des Raftsmen du Canadaet l’histoire du Wood Rush d’Amérique qui prend sa source dans la rivière des Outaouais. Rien ne sert d’attendre, nous sommes déjà au travail pour négocier un bail emphytéotique (99 ans) dans l’ensemble industriel E.B. Eddy pour et au nom du futur musée national. Nous estimons qu’une surface balisée minimum de 110 000 pi2 (10 000 m2) doit être affectée à une vocation muséale dans le plan de zonage du site E.B. Eddy qui accueillera pour 2030 le cinquième musée national du Québec. Notez que les musées nationaux québécois ont une surface moyenne d’opération de 323 000 pi2 (30 000 m2) et que l’ouverture du dernier musée québécois remonte à 1988, il y a 31 ans.

Nous proposons donc que le futur musée régional profite du train « national » et embarque dans le wagon de tête, sans perdre sa spécificité. Cette proposition de collaboration est viable pour le musée régional qui pourra profiter d’une tout autre palette de services spécialisés et surtout, de l’achalandage indirect de grands musées de proximité. Cette avenue rend possible l’arrivée du musée régional dans cet espace signicatif d’E.B. Eddy, et ce sans pression sur les élus quant au délai de livraison. De notre point de vue, le musée national pourra sous-louer en temps et lieu des espaces au musée régional. À titre indicatif, le Musée régional de la Côte-Nord occupe un espace de 11 517 pi2 (1 070 m2) au 500 boul. Laure où 44% des aires sont réservées aux expositions.

Il est légitime de vous demander « pourquoi un musée national québécois à Gatineau ? ».  Ce nouvel investissement permettra de développer l’économie par la culture (économie mauve), de corriger cinquante ans de sous-financement systémique de la Belle Province dans le secteur muséologique en Outaouais québécois, mais surtout, révéler 200 ans d’histoire de la vallée de l’Outaouais qui ont profondément influencé le socle de l’organisation sociale, économique et culturelle du Québec. Tout en intervenant de façon positive sur l’aménagement du territoire et en stimulant l’industrie touristique, nous sommes en présence d’une logique d’investissement rentable compte tenu de l’impact de ce futur musée en matière d’éducation, de développement des connaissances, de protection du patrimoine et de cohésion sociale. La vitalité du réseau muséal québécois tient à ces grands musées (les musées du Québec, de la Civilisation, d’art contemporain et des beaux-arts) qui vivent avec des expositions populaires d’intérêt international appuyées par d’importants commanditaires. Avantageusement pensé, le modèle hybride de gouvernance du Musée fluvial national Philemon-Wright rend adaptable le financement : le pavillon québécois, le pavillon canadien et le centre de recherches engagées en excellence (CREE) sont intrinsèquement complémentaires. La Région de la capitale nationale est la vitrine du pays, c’est la clef de voute du musée fluvial !

Créer avec l’énergie commune un musée interprovincial

Avec beaucoup d’argent, on peut créer une ville sans âme, sans personnalité, amusante certes et possiblement à la Walt Disney. Donner une identité à la capitale, et par surcroît à la Région de la capitale nationale qui inclut Gatineau, a une valeur au-delà des dollars. La Région de la capitale nationale doit accomplir vraiment l’œuvre pour laquelle elle a été choisie, et ce, à la lumière de ses actions d’éclat. Cet appel à l’action s’aiguille particulièrement bien autour des exploits des cageux (Raftsmen), ces marins atypiques du XIXe siècle, qui ont marqué profondément la vallée de l’Outaouais. Berceau en Amérique du Nord du Wood Rush qui est endogène à la révolution industrielle, notre vallée est la première force économique du Canada pendant la majeure partie du 19e siècle. La rivière des Outaouais a été le siège d’une construction navale atypique destinée au commerce canado-britannique qui a influencé la destinée des forces mondiales de l’époque. Les cageux (Raftsmen) élaboraient d’immenses radeaux, 500 m sur 60 m, qui sont des ouvrages remarquables d’ingénierie de 8000 tonnes. Chacune de ces îles flottantes – tout aussi fantastique que celle d’Histoire de Pi – était pilotée par l’équipage sous l’œil exercé du maître des cages dont, Jos Montferrand, jusqu’aux portes de Québec où attendait un millier de voiliers prêts à la navigation hauturière.   

Les villes sont en concurrence pour attirer les congrès, les grands événements ou tout simplement les résidents qui vont leur permettre de briller par rapport aux autres villes. C’est aussi vrai quand on parle d’agglomération transfrontalière comme Ottawa-Gatineau. Située à l’écart du grand couloir touristique tracé entre les chutes Niagara et les baleines de l’estuaire du Saint-Laurent, la Région de la capitale nationale a tout intérêt à développer une forte personnalité pour mieux se démarquer sur l’échiquier touristique national et international. À population comparable, la ville étasunienne de Seattle qui est liée au Gold Rush attire depuis une décennie 40 millions de visiteurs par an. Au Canada, donc à la grandeur du pays, c’est un chiffre modeste de 21 millions. Alors qu’Amsterdam, capitale des Pays-Bas, surchauffe avec 17 millions de visiteurs pour une population de 1,1 million d’habitants, chez nous on réfléchit encore à l’enjeu touristique…pourtant capital !

Les valeurs symboliques identitaires de ce riche héritage « cageussime » redonnent une large place au sens du territoire habité tout en dévoilant LE cachet authentique tant recherché pour devenir attractif et tirer notre épingle du jeu. Pour faciliter la réappropriation de notre identité qui est au cœur d’un récit national non encore commémoré, l’implantation d’une infrastructure muséale d’envergure devient tout naturellement un enjeu pour pérenniser cette source de fierté des deux côtés de la rivière et se doter d’un repère rassembleur interprovincial garant de notre mémoire collective.

La force unificatrice complémentaire et son partage identitaire

L’équipe Columbo 1806, d’A.B.C. Stratégies, échange sur une base régulière avec les équipes de la Commission de la capitale nationale (CCN) afin d’identifier le terrain qui accueillera le prestigieux pavillon sud (à charte fédérale) et le Centre de recherches engagées en excellence (CREE) du Musée fluvial national Philemon-Wright. Cette collaboration s’annonce très dynamique pour ancrer sur la rive sud des chutes Chaudière le nouveau diamant architectural et réenchanter notre capitale à l’international en démontrant que son histoire est digne des plus grandes capitales du monde. Nous poursuivons aussi nos objectifs de co-créer des volets de ce grand musée avec les Premières Nations et tout spécialement, la nation algonquine Anishinabeg.

Nous constatons sur le terrain une rapide évolution, bien qu’inégale sur la rive nord de la grande rivière. La recherche de cibles communes avec l’ensemble de nos collaborateurs et partenaires pancanadiens favorise une synergie collective productive. Une communication distincte, dans le premier trimestre de l’année 2020, est envisagée pour donner plus amples détails sur ce grand chapitre ottavien et canadien.

Signé ce 2 décembre 2019,

Alexandre Pampalon
Chef du projet muséal et médiateur culturel
A.B.C. Stratégies, OBNL

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[ Le trésor caché de l'Outaouais ] Dans la vall [ Le trésor caché de l'Outaouais ]

Dans la vallée de l'Outaouais, berceau du Wood Rush, les pins atteignent 60 m de hauteur. De sa colonie établie au canton de Hull, Philemon Wright lance le 11 juin 1806 la première cage formée de 50 radeaux. Cet archétype nommé Columbo, prendra deux mois pour franchir les rapides et parcourir 250 miles marins jusqu’à Québec avec cinq hommes à bord, dont London Oxford, gentleman afro-américain. Ce geste d'éclat révèle le parfait moyen de transport pour ces bois. 
Quatre générations de cageux se succéderont pour cager les pièces de 12 à 18 m de longueur. On met d'abord une rangée de pins qui flottent, puis on ajoute les traverses en chêne, reliées avec des chevilles ou des harts. Une centaine de radeaux sont réunis pour former la cage, 500 m sur 60 m. Cet ouvrage d'ingénierie de 7 500 tonnes, véritable île flottante, est équipé de cordes, ancres, chaînes et voiles avant d'entreprendre le voyage des Outaouais jusqu’à Québec.

#Outaouais #cageux #draveurs #histoire
[ Récit poétique ] RATTACHÉS AUX DRAMES, AUX C [ Récit poétique ] 
RATTACHÉS AUX DRAMES, AUX CAGES À BRAS LE CORPS 
S’ACCLIMATANT AUX NUAGES DE LEUR SORT
REMUÉS PAR LE CHANT DES RIVIÈRES MURMURANT
EN HARMONIE LEUR DESTINÉE LES CONTEMPLANT

RESPIREZ L’AIR DES CAGEUX À PLEINS POUMONS
PURE TRANCHANT, INTRÉPIDE ET PROFOND
LAISSEZ CE SOUFFLE VOUS SÉDUIRE DE SON INSPIRATION
CETTE SAVEUR DÉBORDANTE DE DÉTERMINATION

Poème d'Alexandre Pampalon | « L'air des cageux »
[ Recette pour les marins d'eau douce ] Afin de f [ Recette pour les marins d'eau douce ]

Afin de faire savourer notre histoire ⚜, amusez-vous à trouver la bonne route fluviale pour nos cageux (Raftsmen) du XIXe siècle.

Ces drôles de marins pilotaient sur de longues distances et pendant plusieurs mois, des radeaux faits en pin blanc équarri.  C'était une flotte de vaisseaux plats portant des tentes ou des maisonnettes, de nombreuses voilures avec leurs mâts, leurs cordages et leurs pavillons, formant toutes ensemble un village flottant de 60 m sur 500 m. Le spectacle était extrêmement pittoresque sur le fleuve Saint-Laurent.

Chaque cage (train de bois) avait son escouade de rameurs qui aimaient se retrouver à la cambuse, où les repas étaient mijotés grâce à un feu préparé sur un lit d'argile. Voici un petit livre rempli de gravures romantiques (1842) qui retracent la route fluviale de nos ancêtres aventuriers : https://bit.ly/2mich7H

#cageux #radeau #pinblanc #SaintLaurent #Outaouais #LeColumbode1806 #Premier traindebois
Et les villages ont grandi autour des moulins et d Et les villages ont grandi autour des moulins et des usines. Imaginez à quoi pouvait ressembler la vallée du Saint-Laurent ou celle de l'Outaouais avant la «Guerre au bois»... #principaleeconomie #Canada #19esiecle #pinblan #cageux
À cause de sa valeur marchande, le pin blanc devi À cause de sa valeur marchande, le pin blanc devint la base du commerce du bois équarri au Canada au XIXe siècle. 
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[ Le pin blanc ] Cette espèce prisée a connu un [ Le pin blanc ] Cette espèce prisée a connu un destin funeste dans le commerce canado-britannique car son bois était très bon pour les mâts. 
#JosMontferrand #boiscarré #19esiecle #pinblanc
[ Dis-moi quel est l'arbre le plus grand ? ] Le p [ Dis-moi quel est l'arbre le plus grand ? ] 
Le pin blanc (ou pinus stobus) en nature pure est le roi de la forêt de l'est de l'Amérique du Nord car il est le plus majestueux. Dans nos vieilles forêts, comme celle de la forêt de l'Aigle, il ressemble à une immense perche surmontée d'une brosse. Soumis au climat rigoureux de l'Amérique septentrionale, ce conifère pouvait en période précoloniale atteindre 200 pieds (61 m) de hauteur. Aujourd'hui le champion québécois serait enraciné à La Patrie (QC) et mesure 35 m. Cette espèce prisée a connu un destin funeste dans le commerce canado-britannique car son bois était très bon pour les mâts. À cause de sa valeur marchande, ce bois devint la base du commerce du bois équarri au Canada au XIXe siècle. Et les villages ont grandi autour des moulins et des usines. Imaginez à quoi pouvait ressembler la vallée du Saint-Laurent ou celle de l'Outaouais avant la «Guerre au bois»... Découvert seulement en 1988, l'arbre le plus grand du Canada se trouve dans la réserve de parc national Pacific Rim sur l'île de Vancouver. Appelé "Cheewhat Giant", ce magnifique cèdre rouge de l'Ouest (Thuya géant) a un diamètre de plus de 6 m, une hauteur de 56 mètres et un volume de bois de 450 m3 soit la valeur de 450 poteaux de téléphone ordinaires !

Le Sequoia sempervirens est, quant à lui, l'arbre le plus grand du monde. C'est un conifère d'Amérique du Nord qui vit naturellement sur la côte Pacifique des États-Unis, plus particulièrement dans les montagnes californiennes. Le spécimen le plus grand connu actuellement porte le nom d'Hypérion et mesure 115,55 m. Du point de vue du volume, c'est plutôt le séquoia géant qui remporte la palme avec le Général Sherman qui atteint un volume de 1487 m3 au terme de 2000 à 3000 ans de croissance.

Nos trois prochaines publications vous mèneront à l'intérieur de différents parcs nationaux étasuniens. Pour mieux vous y préparer, cette illustration en couleurs vous permettra de comparer les hauteurs... Sources : https://bit.ly/2vFqfph 
https://bit.ly/2WHa5qq 
https://bit.ly/2JjSc9D

#pinblanc #Canada
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