J'appuie le musée

appuyer
  • La médiation culturelle. Votre atout.
  • I support the museum
  • +1-514-273-1109
  • info@abcstrategies.com
  • Accueil
  • À propos
    • Columbo 1806
    • A.B.C Stratégies
    • Notre équipe
  • Boutique
  • S’impliquer
    • Devenir partenaire
    • Devenir membre
  • Actualité
    • Nouveautés
    • Blogues
    • Partenaires
    • Médias
  • Contact
  • Vidéos
HELPING HANDS
  • Accueil
  • À propos
    • Columbo 1806
    • A.B.C Stratégies
    • Notre équipe
  • Boutique
  • S’impliquer
    • Devenir partenaire
    • Devenir membre
  • Actualité
    • Nouveautés
    • Blogues
    • Partenaires
    • Médias
  • Contact
  • Vidéos

L’équipe en tournée – J3

abcstrategies2 . avril 7, 2017 Actualité,Columbo1806,Tournée    Columbo 2017,culture,projet panquébécois,Tournée

Columbo 1806

 

[ BLOGUE SUR LA TOURNÉE – COLUMBO 1806 ]

# Kinsey-Falls [ Jour 2 ]

La ferme Boogie à Kingsey Falls

Sur la route vers Kingsey Falls, notre regard porte loin sur les vastes étendues encore blanches de neige. Nous nous arrêtons en chemin pour admirer l’église de Saint-Félix-de-Kingsey, nichée sur sa petite colline. Située en région montagneuse et bordée par la rivière Saint-François, le village abrite 1 600 âmes. À la nuit tombée, nous arrivons enfin à destination : Michel et Diane, gérants de la ferme Boogie, nous attendent pour le souper.

Notre équipe a la chance de découvrir en primeur le dernier né de la ferme : un poulain Welch déjà très prometteur, si l’on en croit le propriétaire. Michel Bougie est à la tête du haras depuis plus de trente ans, qui accueille aujourd’hui cinquante bêtes dont trente-cinq poneys de race. Grand amateur de concours, plusieurs de ses chevaux ont été primés. Il faut voir le nombre de médailles épinglées aux murs de son bureau !

# Rendez-vous au siège des usines Cascades®

Columbo 1806 au siège des usines Cascades®

Au petit matin, l’équipe de Columbo 1806 quitte la ferme Boogie au son des bruits de sabots. Dans le village, nous nous apercevons bien vite que les usines Cascades® sont omniprésentes, et c’est justement au siège de la multinationale que nous allons car nous avons rendez-vous avec la haute direction. Cette rencontre s’avère particulièrement concluante et notre projet de maillage arts-affaires est chaleureusement accueilli. En quittant les bureaux de Cascades®, où les œuvres d’art occupent justement une place de choix, notre trio ne peut que se réjouir de compter l’entreprise comme nouveau partenaire, avec laquelle nous partageons tant de valeurs communes.

Nous apprenons qu’il est possible de visiter la première usine Cascades®, acquise par les frères Lemaire en 1964. Une salle spécialement aménagée pour les visiteurs rassemble des artefacts, des photos d’archives et toutes sortes d’échantillons pour raconter le parcours des trois frères et de découvrir les coulisses de la fabrication du papier et du carton.

# Visite du Parc Marie-Victorin

Après avoir quitté la salle de réunion « Les Bâtisseurs », au siège de l’entreprise Cascades®, c’est maintenant sur la « Passerelle des Bâtisseurs » que l’équipe de Columbo 1806 se retrouve, surplombant la rivière Nicolet. Le pont, intégralement composés de matériaux recyclés, prend place dans le parc Marie-Victorin, un lieu emblématique et incontournable à Kingsey Falls. Nous y sommes reçus par Geneviève Destroismaisons, directrice générale du site. Nous découvrons un univers horticole fabuleux : au détour de six jardins, les visiteurs s’émerveillent devant les chutes d’eau et les fontaines, la serre tropicale et ses oiseaux exotiques, sans oublier les emblématiques mosaïcultures [grandes structures végétales tridimensionnelles N.D.L.R.]. C’est en 1985 que le premier jardin est créé avec son belvédère, offrant une vue imprenable sur la rivière.

# Victoriaville

Nous reprenons la route vers Victoriaville, ville située au comté d’Arthabaska, dans la région du Centre-du-Québec. C’est en 1861 que Victoriaville est officiellement créée, après avoir scindée le village d’Arthabaskaville. En 1896, Sir Wilfrid Laurier, un de ses illustres habitants, devient le premier francophone à être nommé premier ministre du Canada. Sa maison peut d’ailleurs se visiter et abrite un musée d’histoire.

Victoriaville a longtemps été considérée comme la « capitale » canadienne du meuble et du textile. Aujourd’hui, le panorama économique et industriel de la ville est plus diversifié et plusieurs secteurs se démarquent (l’agroalimentaire, le transport spécialisé, la machinerie ou encore la récupération des matières résiduelles). Victoriaville est aussi reconnue pour son usine de cercueils Vic Royal®, une division de Victoriaville Group®. L’entreprise est la propriété de la famille Dumont, qui est le deuxième plus grand fabricant de cercueils en bois de l’Amérique du Nord.

Nous nous arrêtons à la chambre de commerce et d’industrie Bois-Francs-Érable, fondée en 1903 et qui regroupe aujourd’hui plus de 1 400 membres, dirigeantes et dirigeants d’entreprises provenant de tous secteurs d’activités.

# Richmond

 La ville de Richmond fait partie du comté du Val-Saint-François, dans la région administrative de l’Estrie. Elle longe la rivière Saint-François et se situe à mi-chemin entre Sherbrooke et Drummondville. Son organisation actuelle date de 1999, suite au regroupement entre l’ancienne ville de Richmond, sur la rive droite, et du village de Melbourne, situé de l’autre côté de la rivière. Elle connait un développement économique au milieu du XIXe siècle grâce aux chemins de fer qui font la liaison vers Montréal, Québec et Sherbrooke, et même jusque Portland aux États-Unis. Aujourd’hui encore, Richmond se démarque par le domaine du transport de marchandises par voie ferrée. La ville conserve d’ailleurs la seule cour de triage d’Estrie encore en service.

Nous nous arrêtons sur notre chemin pour présenter le projet Columbo 1806 à Marc Ducharme, directeur général du Centre d’aide aux entreprises du Val St-François.

# Sherbrooke

Sherbrooke prend place au confluent des rivières Magog et Saint-François, à seulement cinquante kilomètres de la frontière américaine. La ville est le pôle économique, culturel et institutionnel d’Estrie, ainsi qu’un important centre universitaire. Avec plus 210 000 habitants, elle se place comme la quatrième plus grande ville du Québec.

C’est à la fin du XIXe siècle que la situation économique de Sherbrooke change, avec la manufacture de laine Paton. Le lieu s’avère particulièrement adapté à l’activité industrielle puisque les gorges de la rivière Magog protègent l’eau du gel pendant l’hiver, permettant ainsi de bénéficier de la force hydraulique toute l’année.

À Sherbrooke, notre équipe rencontre Louise Bourgault et Mylène Croteau, qui œuvrent avec brio au rayonnement et au développement de la chambre de commerce de Sherbrooke.

En fin d’après-midi, notre trio a rendez-vous avec le gérant du Siboire, la microbrasserie sherbrookoise qui prend place dans le bâtiment de l’ancienne gare de la ville. L’idée de revenir pour un événement est évoquée. Nous reprenons ensuite la route pour Lac-Mégantic, où nous passerons la nuit.

Par Marie-Élise Louges (avril 2017).

Cliquez ici pour annuler la réponse.

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*
*

Archives

  • mars 2020
  • février 2020
  • janvier 2020
  • décembre 2019
  • septembre 2019
  • février 2019
  • janvier 2019
  • décembre 2018
  • août 2018
  • juillet 2018
  • mai 2018
  • mars 2018
  • février 2018
  • janvier 2018
  • décembre 2017
  • novembre 2017
  • octobre 2017
  • septembre 2017
  • août 2017
  • juillet 2017
  • juin 2017
  • mai 2017
  • avril 2017
  • mars 2017
  • février 2017
  • janvier 2017
  • décembre 2016

Catégories

  • Actualité
  • Actualités
  • Actualités
  • Columbo1806
  • CRIMCO
  • enjeux et pratiques
  • Histoire
  • Médias
  • Non classé
  • Nouveautés
  • Partenaires
  • Tournée

Articles récents

  • La E.B. Eddy à un stade lépreux
  • J’❤️ la E.B. Eddy
  • Lettre au très Honorable Justin Trudeau
  • Lettre ouverte adressée à MM. le Maire de Gatineau et le Ministre responsable de l’Outaouais
  • Open letter addressed to the Mayor of Gatineau and to the Minister responsible for the Outaouais

Commentaires récents

  • Lionel Boucher dans La E.B. Eddy à un stade lépreux
  • abcstrategies2 dans J’❤️ la E.B. Eddy
  • Lionel Boucher dans J’❤️ la E.B. Eddy
  • SEO Reseller dans Press release: Philemon-Wright National Fluvial Museum: To Anchor the Identity of Tomorrow
  • Columbo 1806 dans La fin de la drave

Galerie vidéos


Facebook

Facebook
junk removal

Twitter

Tweets by @Columbo1806

Instagram

[ Le trésor caché de l'Outaouais ] Dans la vall [ Le trésor caché de l'Outaouais ]

Dans la vallée de l'Outaouais, berceau du Wood Rush, les pins atteignent 60 m de hauteur. De sa colonie établie au canton de Hull, Philemon Wright lance le 11 juin 1806 la première cage formée de 50 radeaux. Cet archétype nommé Columbo, prendra deux mois pour franchir les rapides et parcourir 250 miles marins jusqu’à Québec avec cinq hommes à bord, dont London Oxford, gentleman afro-américain. Ce geste d'éclat révèle le parfait moyen de transport pour ces bois. 
Quatre générations de cageux se succéderont pour cager les pièces de 12 à 18 m de longueur. On met d'abord une rangée de pins qui flottent, puis on ajoute les traverses en chêne, reliées avec des chevilles ou des harts. Une centaine de radeaux sont réunis pour former la cage, 500 m sur 60 m. Cet ouvrage d'ingénierie de 7 500 tonnes, véritable île flottante, est équipé de cordes, ancres, chaînes et voiles avant d'entreprendre le voyage des Outaouais jusqu’à Québec.

#Outaouais #cageux #draveurs #histoire
[ Récit poétique ] RATTACHÉS AUX DRAMES, AUX C [ Récit poétique ] 
RATTACHÉS AUX DRAMES, AUX CAGES À BRAS LE CORPS 
S’ACCLIMATANT AUX NUAGES DE LEUR SORT
REMUÉS PAR LE CHANT DES RIVIÈRES MURMURANT
EN HARMONIE LEUR DESTINÉE LES CONTEMPLANT

RESPIREZ L’AIR DES CAGEUX À PLEINS POUMONS
PURE TRANCHANT, INTRÉPIDE ET PROFOND
LAISSEZ CE SOUFFLE VOUS SÉDUIRE DE SON INSPIRATION
CETTE SAVEUR DÉBORDANTE DE DÉTERMINATION

Poème d'Alexandre Pampalon | « L'air des cageux »
[ Recette pour les marins d'eau douce ] Afin de f [ Recette pour les marins d'eau douce ]

Afin de faire savourer notre histoire ⚜, amusez-vous à trouver la bonne route fluviale pour nos cageux (Raftsmen) du XIXe siècle.

Ces drôles de marins pilotaient sur de longues distances et pendant plusieurs mois, des radeaux faits en pin blanc équarri.  C'était une flotte de vaisseaux plats portant des tentes ou des maisonnettes, de nombreuses voilures avec leurs mâts, leurs cordages et leurs pavillons, formant toutes ensemble un village flottant de 60 m sur 500 m. Le spectacle était extrêmement pittoresque sur le fleuve Saint-Laurent.

Chaque cage (train de bois) avait son escouade de rameurs qui aimaient se retrouver à la cambuse, où les repas étaient mijotés grâce à un feu préparé sur un lit d'argile. Voici un petit livre rempli de gravures romantiques (1842) qui retracent la route fluviale de nos ancêtres aventuriers : https://bit.ly/2mich7H

#cageux #radeau #pinblanc #SaintLaurent #Outaouais #LeColumbode1806 #Premier traindebois
Et les villages ont grandi autour des moulins et d Et les villages ont grandi autour des moulins et des usines. Imaginez à quoi pouvait ressembler la vallée du Saint-Laurent ou celle de l'Outaouais avant la «Guerre au bois»... #principaleeconomie #Canada #19esiecle #pinblan #cageux
À cause de sa valeur marchande, le pin blanc devi À cause de sa valeur marchande, le pin blanc devint la base du commerce du bois équarri au Canada au XIXe siècle. 
#boiscarre #ansesdeQuebec #radeaux
[ Le pin blanc ] Cette espèce prisée a connu un [ Le pin blanc ] Cette espèce prisée a connu un destin funeste dans le commerce canado-britannique car son bois était très bon pour les mâts. 
#JosMontferrand #boiscarré #19esiecle #pinblanc
[ Dis-moi quel est l'arbre le plus grand ? ] Le p [ Dis-moi quel est l'arbre le plus grand ? ] 
Le pin blanc (ou pinus stobus) en nature pure est le roi de la forêt de l'est de l'Amérique du Nord car il est le plus majestueux. Dans nos vieilles forêts, comme celle de la forêt de l'Aigle, il ressemble à une immense perche surmontée d'une brosse. Soumis au climat rigoureux de l'Amérique septentrionale, ce conifère pouvait en période précoloniale atteindre 200 pieds (61 m) de hauteur. Aujourd'hui le champion québécois serait enraciné à La Patrie (QC) et mesure 35 m. Cette espèce prisée a connu un destin funeste dans le commerce canado-britannique car son bois était très bon pour les mâts. À cause de sa valeur marchande, ce bois devint la base du commerce du bois équarri au Canada au XIXe siècle. Et les villages ont grandi autour des moulins et des usines. Imaginez à quoi pouvait ressembler la vallée du Saint-Laurent ou celle de l'Outaouais avant la «Guerre au bois»... Découvert seulement en 1988, l'arbre le plus grand du Canada se trouve dans la réserve de parc national Pacific Rim sur l'île de Vancouver. Appelé "Cheewhat Giant", ce magnifique cèdre rouge de l'Ouest (Thuya géant) a un diamètre de plus de 6 m, une hauteur de 56 mètres et un volume de bois de 450 m3 soit la valeur de 450 poteaux de téléphone ordinaires !

Le Sequoia sempervirens est, quant à lui, l'arbre le plus grand du monde. C'est un conifère d'Amérique du Nord qui vit naturellement sur la côte Pacifique des États-Unis, plus particulièrement dans les montagnes californiennes. Le spécimen le plus grand connu actuellement porte le nom d'Hypérion et mesure 115,55 m. Du point de vue du volume, c'est plutôt le séquoia géant qui remporte la palme avec le Général Sherman qui atteint un volume de 1487 m3 au terme de 2000 à 3000 ans de croissance.

Nos trois prochaines publications vous mèneront à l'intérieur de différents parcs nationaux étasuniens. Pour mieux vous y préparer, cette illustration en couleurs vous permettra de comparer les hauteurs... Sources : https://bit.ly/2vFqfph 
https://bit.ly/2WHa5qq 
https://bit.ly/2JjSc9D

#pinblanc #Canada
AU-DELÀ DE 20 ANS, IL EST TEMPS ! L'Après-Covid- AU-DELÀ DE 20 ANS, IL EST TEMPS ! L'Après-Covid-19 nous ramène à nos devoirs : Définir notre territoire, l'identité et son image de marque qui ouvre à l'international. Une prise de position est somme toute requise et nécessaire, afin de donner à la région une fierté nationale à la hauteur de son histoire glorieuse autour du Wood Rush qui a façonné la destinée du Québec, du Canada inc. et de la capitale du pays.

#Outaouais #identite #cageux #draveur #patrimoineclasse #EBEddy
Sans action politique musclée, le complexe E.B. E Sans action politique musclée, le complexe E.B. Eddy va disparaître - ce phare identitaire emblématique du Wood Rush au pays. « Cette carcasse résiste encore comme si l’âme de ses  travailleurs refusait de mourir » - L.B., ancien draveur

#cageux #EBEddy #draveur
©2017 A.B.C. Stratégies. Tous les droits réservés. Ce site a été créé par Desoctets