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5 choses sur Isabelle Regout

abcstrategies2 . février 18, 2018 Actualité,Actualités,Actualités,Columbo1806    café,Choralies,Columbo,Columbo 1806,Commission scolaire des Portages de l'Outaouais,CSPO,Dompteurs d’écueils,draveurs,fierté,Gatineau,histoire,identité,Isabelle Regout,médiation culturelle,Outaouais,patrimoine,peinture,trains de bois,Ville de Gatineau

Columbo 1806

[ 5 choses inusitées à savoir sur Isabelle Regout ] 

Par Christian Belleau, chroniqueur et journaliste

Nous vous proposons un bouquet d’anecdotes sympathiques sur l’artiste Isabelle Regout qui est l’auteure de la grande œuvre «Dompteurs d’écueils» qui est au cœur du projet Columbo 1806. La côtoyer, c’est découvrir rapidement qu’elle porte des valeurs ancrées dans la solidarité et la justice. Pour l’heure, savourons l’inusité dans cette artiste :

 

1. J’ai capturé un héron à main nue !

« À peine âgée de 15 ans, je me promenais dans un boisé tout près de chez moi. Je montais alors un poney quand tout à coup, j’ai entrevu un héron qui chassait dans un ruisseau. Je me suis dirigée vers lui et je l’ai surpris; il a cherché à s’envoler, mais j’étais dans sa trajectoire d’envol. En une fraction de seconde, j’ai sauté en bas de ma monture et je me suis retrouvée avec cet énorme héron collé à ma poitrine. Je l’ai enlacé avec mes bras pour ensuite le montrer à mes parents avant de le relâcher. Comme j’étais fière de l’avoir attrapé! Voilà une anecdote qui illustre bien ma constante volonté de saisir la chance quand elle passe.»

 

2. La vie se raconte en jouant !

«Jeune adulte, mon travail de monitrice me convenait beaucoup car j’ai toujours apprécié les activités extérieures et les jeux en équipe. Je me souviendrai toujours du plaisir des enfants : les faire s’asseoir autour d’une lanterne allumée, et leur raconter une histoire. À partir de celle-ci, on construisait un univers féérique qui les stimulait et devenait le temps d’un jeu, une réalité. S’il était question d’une expédition de secours – par exemple pour un écrasement d’avion Cessna – on ajoutait notamment des kits de survie et des sifflets pour retrouver les survivants ou devrais-je dire, les mannequins. Je me remémore d’ailleurs qu’un enfant avait trouvé un récipient d’huile à moteur jeté là par mégarde mais pour lui, on venait de mettre la main sur un indice éloquent pour retrouver l’équipage! Ces associations spontanées et cet imaginaire débordant m’émerveilleront toujours chez les enfants. Voilà, c’est dans l’équilibre entre le rêve et le rationnel que je me définis le mieux.»

 

3. Mon café, je le bois avec un soupçon de peinture !

«Comme bien des gens, j’aime me mettre au boulot accompagnée d’un bon café, mais le hic, c’est que j’ai la fâcheuse habitude de nettoyer mon pinceau dans ma tasse. Évidemment, je ne m’en rends pas compte ! Bref, demandez-moi comment je bois mon café et je vous répondrai probablement: sans sucre, avec lait et ajoutez-y dont un nuage de peinture! Comme quoi, mon travail d’artiste me suit même dans l’assiette. J’imagine que ça fait partie des risques du métier…»

 

4. La création au rythme de 824 enfants

«À la Maison de la culture de Gatineau, j’ai récemment collaboré à un grand spectacle de choeurs pour enfants, Les Choralies. J’avoue avoir beaucoup grandi dans ce projet! Avec l’aide de la Commission scolaire, nous avons regroupé 824 jeunes provenant de six écoles et, pendant quatre mois, je leur ai donné des outils et des matériaux pour réaliser eux-mêmes les décors scéniques de ce spectacle. Âgés entre 4 et 16 ans, j’ai vu ces élèves bâtir leur estime et croire en leur potentiel. Sur le plan pédagogique, j’ai souvent eu à m’adapter car les classes vivent des réalités fort différentes mais c’est là aussi, que l’humain se dévoile. Résultat, les Choralies ont fait salle comble les trois soirs de représentation, et surtout, les enfants pétillants ont pu partager leur passion avec leurs parents et leurs proches. »

 

5. J’ai sauvé l’honneur d’une cavalière

«J’ai commencé à travailler comme aide-monitrice équestre vers l’âge de 17 ans. Un jour, je me trouvais avec un groupe de poneys pour offrir un cours d’équitation à des enfants. Une maman s’est alors jointe à nous pour aider. Elle s’amusait ferme, mais beaucoup moins douée que les enfants, elle s’est mise au galop et était incapable de maîtriser son poney. J’ai galopé à ses côtés et je l’ai maintenu solidement pendant une minute ou deux le temps de ralentir. Lorsque nous nous sommes enfin arrêtées, nous avons bien rigolé! Un tel incident m’apprend à aiguiser mes réflexes, mais aussi à garder mon sang-froid dans l’urgence. Ce qui ne m’empêche pas d’être toujours aussi impatiente dans la vie!»

 

# Son engagement dans le développement durable

Une femme d’action et de défis, l’artiste Isabelle Regout exploite ses talents depuis de nombreuses années dans le cadre de son cheminement artistique. Aujourd’hui, la Gatinoise ajoute toutefois une corde à son arc et brille désormais dans son rôle de médiatrice culturelle. Grandement impliquée dans le projet Columbo 1806, celle-ci cherche ainsi à mettre en valeur les quatre piliers d’un développement fort et durable: la culture, l’économie (entreprises), l’aspect humain (les gens) et l’embellissement de l’environnement. Grâce à ce merveilleux quatuor, Isabelle Regout a certainement toutes les clés en main pour métisser les arts et le monde des affaires!

 

 

Par Christian Belleau, chroniqueur et journaliste

© A.B.C. Stratégies, 2017. Publié au Canada | Tous droits réservés | Entente no 2017ABC-GÉN | Ce document est disponible sur demande dans un format numérique ou papier. Agent : A.B.C. Stratégies | Tél. : 514-273-1109 ou Courriel: info@abcstrategies.ca

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[ Le trésor caché de l'Outaouais ] Dans la vall [ Le trésor caché de l'Outaouais ]

Dans la vallée de l'Outaouais, berceau du Wood Rush, les pins atteignent 60 m de hauteur. De sa colonie établie au canton de Hull, Philemon Wright lance le 11 juin 1806 la première cage formée de 50 radeaux. Cet archétype nommé Columbo, prendra deux mois pour franchir les rapides et parcourir 250 miles marins jusqu’à Québec avec cinq hommes à bord, dont London Oxford, gentleman afro-américain. Ce geste d'éclat révèle le parfait moyen de transport pour ces bois. 
Quatre générations de cageux se succéderont pour cager les pièces de 12 à 18 m de longueur. On met d'abord une rangée de pins qui flottent, puis on ajoute les traverses en chêne, reliées avec des chevilles ou des harts. Une centaine de radeaux sont réunis pour former la cage, 500 m sur 60 m. Cet ouvrage d'ingénierie de 7 500 tonnes, véritable île flottante, est équipé de cordes, ancres, chaînes et voiles avant d'entreprendre le voyage des Outaouais jusqu’à Québec.

#Outaouais #cageux #draveurs #histoire
[ Récit poétique ] RATTACHÉS AUX DRAMES, AUX C [ Récit poétique ] 
RATTACHÉS AUX DRAMES, AUX CAGES À BRAS LE CORPS 
S’ACCLIMATANT AUX NUAGES DE LEUR SORT
REMUÉS PAR LE CHANT DES RIVIÈRES MURMURANT
EN HARMONIE LEUR DESTINÉE LES CONTEMPLANT

RESPIREZ L’AIR DES CAGEUX À PLEINS POUMONS
PURE TRANCHANT, INTRÉPIDE ET PROFOND
LAISSEZ CE SOUFFLE VOUS SÉDUIRE DE SON INSPIRATION
CETTE SAVEUR DÉBORDANTE DE DÉTERMINATION

Poème d'Alexandre Pampalon | « L'air des cageux »
[ Recette pour les marins d'eau douce ] Afin de f [ Recette pour les marins d'eau douce ]

Afin de faire savourer notre histoire ⚜, amusez-vous à trouver la bonne route fluviale pour nos cageux (Raftsmen) du XIXe siècle.

Ces drôles de marins pilotaient sur de longues distances et pendant plusieurs mois, des radeaux faits en pin blanc équarri.  C'était une flotte de vaisseaux plats portant des tentes ou des maisonnettes, de nombreuses voilures avec leurs mâts, leurs cordages et leurs pavillons, formant toutes ensemble un village flottant de 60 m sur 500 m. Le spectacle était extrêmement pittoresque sur le fleuve Saint-Laurent.

Chaque cage (train de bois) avait son escouade de rameurs qui aimaient se retrouver à la cambuse, où les repas étaient mijotés grâce à un feu préparé sur un lit d'argile. Voici un petit livre rempli de gravures romantiques (1842) qui retracent la route fluviale de nos ancêtres aventuriers : https://bit.ly/2mich7H

#cageux #radeau #pinblanc #SaintLaurent #Outaouais #LeColumbode1806 #Premier traindebois
Et les villages ont grandi autour des moulins et d Et les villages ont grandi autour des moulins et des usines. Imaginez à quoi pouvait ressembler la vallée du Saint-Laurent ou celle de l'Outaouais avant la «Guerre au bois»... #principaleeconomie #Canada #19esiecle #pinblan #cageux
À cause de sa valeur marchande, le pin blanc devi À cause de sa valeur marchande, le pin blanc devint la base du commerce du bois équarri au Canada au XIXe siècle. 
#boiscarre #ansesdeQuebec #radeaux
[ Le pin blanc ] Cette espèce prisée a connu un [ Le pin blanc ] Cette espèce prisée a connu un destin funeste dans le commerce canado-britannique car son bois était très bon pour les mâts. 
#JosMontferrand #boiscarré #19esiecle #pinblanc
[ Dis-moi quel est l'arbre le plus grand ? ] Le p [ Dis-moi quel est l'arbre le plus grand ? ] 
Le pin blanc (ou pinus stobus) en nature pure est le roi de la forêt de l'est de l'Amérique du Nord car il est le plus majestueux. Dans nos vieilles forêts, comme celle de la forêt de l'Aigle, il ressemble à une immense perche surmontée d'une brosse. Soumis au climat rigoureux de l'Amérique septentrionale, ce conifère pouvait en période précoloniale atteindre 200 pieds (61 m) de hauteur. Aujourd'hui le champion québécois serait enraciné à La Patrie (QC) et mesure 35 m. Cette espèce prisée a connu un destin funeste dans le commerce canado-britannique car son bois était très bon pour les mâts. À cause de sa valeur marchande, ce bois devint la base du commerce du bois équarri au Canada au XIXe siècle. Et les villages ont grandi autour des moulins et des usines. Imaginez à quoi pouvait ressembler la vallée du Saint-Laurent ou celle de l'Outaouais avant la «Guerre au bois»... Découvert seulement en 1988, l'arbre le plus grand du Canada se trouve dans la réserve de parc national Pacific Rim sur l'île de Vancouver. Appelé "Cheewhat Giant", ce magnifique cèdre rouge de l'Ouest (Thuya géant) a un diamètre de plus de 6 m, une hauteur de 56 mètres et un volume de bois de 450 m3 soit la valeur de 450 poteaux de téléphone ordinaires !

Le Sequoia sempervirens est, quant à lui, l'arbre le plus grand du monde. C'est un conifère d'Amérique du Nord qui vit naturellement sur la côte Pacifique des États-Unis, plus particulièrement dans les montagnes californiennes. Le spécimen le plus grand connu actuellement porte le nom d'Hypérion et mesure 115,55 m. Du point de vue du volume, c'est plutôt le séquoia géant qui remporte la palme avec le Général Sherman qui atteint un volume de 1487 m3 au terme de 2000 à 3000 ans de croissance.

Nos trois prochaines publications vous mèneront à l'intérieur de différents parcs nationaux étasuniens. Pour mieux vous y préparer, cette illustration en couleurs vous permettra de comparer les hauteurs... Sources : https://bit.ly/2vFqfph 
https://bit.ly/2WHa5qq 
https://bit.ly/2JjSc9D

#pinblanc #Canada
AU-DELÀ DE 20 ANS, IL EST TEMPS ! L'Après-Covid- AU-DELÀ DE 20 ANS, IL EST TEMPS ! L'Après-Covid-19 nous ramène à nos devoirs : Définir notre territoire, l'identité et son image de marque qui ouvre à l'international. Une prise de position est somme toute requise et nécessaire, afin de donner à la région une fierté nationale à la hauteur de son histoire glorieuse autour du Wood Rush qui a façonné la destinée du Québec, du Canada inc. et de la capitale du pays.

#Outaouais #identite #cageux #draveur #patrimoineclasse #EBEddy
Sans action politique musclée, le complexe E.B. E Sans action politique musclée, le complexe E.B. Eddy va disparaître - ce phare identitaire emblématique du Wood Rush au pays. « Cette carcasse résiste encore comme si l’âme de ses  travailleurs refusait de mourir » - L.B., ancien draveur

#cageux #EBEddy #draveur
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